Brèves de répèt'

  • Dans tous les sens

C : C'est pas en biais par rapport au public ?
I : De face !
L : Non, pas en biais par rapport à votre profil.
I : Comme ça ?
C : Non, de profil, en face

 

C : J'aime bien les corps bien en face.
C : Quand tu es de dos, tu mets tes épaules en arrière.
I : Ca, je le fais jamais, parce qu'il faut que je porte mes seins.

 

N : Ingrid, je pense que tu peux te retirer de lui...

 

N : Peut-être que tu peux davantage l'étaler, le centre de ta tête ?
  • Parlons chiffons

C : Alors, pour que le repasse limace soit plus crédible...
Bichounet : "et de ce frottement a jailli l'étincelle..."
F : ça devait être du tergal !
  •  Savoir son texte...

 S : Ça fait au moins trois fois que je ne le dis pas, ça ! !
 C : Vous voulez que je vous le dise, ce que c'est le texte, en vrai ?

 

C : Je pense que le jour J, oui, vous serez prêts... mais il ne faut pas oublier les passages importants !

 

 S : On a fini par le savoir ce p.... de texte !

 

C : Non, là, tu dis : il est délicieux mon Pochito.
S : Aaaah ! Pourtant je l'ai pensé !
C : Mais il faut que tu le dises...

 

 C : C'est bizarre, ça fait longtemps que tu ne l'oublies pas, ça !

 

 C : Ce soir, la chanson, c'est pire que d'habitude. On entend davantage Lionel !

 

 L : J'ai décidé d'être juste dans le texte. Je l'ai appris.
 C : Vous voulez répéter avec le texte ?
 I : Non, le mieux, ce serait de le savoir.
 L : Pourtant, avant, on le savait.

 

F : Ce n'est pas mon genre de contester la mise en scène, mais tu ne crois pas que répéter sans texte soit un peu trop d'avant-garde pour nous ?
 C : En fait, il y a plein de passages qui ne vont pas.
 I : Oui, mais... y en a qui vont bien.

 

 S : Je ne le dis jamais, ça, car je crois que ce n'est pas là.
 C : C'est Molière ! Il met les mots dans n'importe dans quel sens !

 

L : Même avec le texte !! Ah ! Ah ! Ah ! 

 

S : Si tout le monde réussit à dire sa réplique au bon moment, on va peut-être réussir à enchaîner.

 

S : Là, c'est ton texte que j'ai oublié !

 

C : C'est à dire, quand vous saurez le texte, vous pourrez vous regarder et ce sera plus facile. Enfin... ça fait 6 ans que je dis ça, mais là, ça devient urgent !

 

C : On dit vraiment tous les mots !

 

Cl : "Pétasse ! conasse ! "
S : Avant, il n'y en avait qu'un et maintenant elle me traite de trois !

 

  • Permis de théâtre

S : C'est un peu comme au permis de conduire, il faut vraiment tourner la tête.
C : Oui, c'est ça. Le théâtre et le permis, c'est pareil.

 

  • Le meilleur du pire

C : C'est génial, mais je n'ai jamais rien entendu de pire !

 

C : Je n'ai jamais rien entendu d'aussi faux ! c'est génial !

 

Cl : Mon dernier "couille molle", ça me gratte la gorge.

 

I : Vous ne voulez pas une omelette saignante ?

 

  • Évidence

L : Il faut sortir avec ses pieds.

 

S : Attends ! Si je réfléchis, c'est qu'il y a une raison !
C : Fabien, essaie de ne pas te mettre de dos, face à nous.

 

C : C'est quand même un éléphant... heu, un élégant, il faut y aller doucement.
S : Qui ? Guy Foissy ?
C : Non, le mort.
S : Ah ?

 

S : Je pleure depuis que je pleure ?

 

M : Je sais pourquoi les asticots ne se lèvent pas, c'est parce qu'ils n'ont pas de bras !

 

K : Mais pourquoi t'as un popotin derrière ?

 

I : Karine fait du latin.
D : Je le sais bien, ma fille fait du grec avec elle !

 

C : Le pétard, c'est explosif, alors que le joint, ça répare.

 

S : Je suis allé au marché aux esclaves et je ne t'ai pas trouvée mon amour
M : Et moi je suis allée à Noz, et j'ai trouvé plein de trucs !

 

 

  • Plus on est de fous...

L : On est toujours derrière les coulisses, mais sur scène.

 

S : Il faut être plein pour faire ça, enfin, je veux dire beaucoup !

 

C : On change à "interpelle un homme".
S : Interpellanum ? qui le dit ?

 

L : Il faut plus s'éclater à l'infini".
S : On s'clate plus à la fin, au fond.
I: On repart à la tête de Sylvie ou à "l'infini"?

N : Tu restes légère jusqu'au moment où on va découvrir du gros lourd.
H : C'est de moi que tu parles ?